Un amendement du sénateur Jean-Pierre Schosteck (UMP, Hauts-de-Seine), prévoit que «les communes puissent renoncer à la création d’un centre communal d’action sociale et en exercer directement les compétences». Avant la présentation du texte au Palais-Bourbon, initialement prévue le 24 février et repoussée en mars dans le cadre du projet de loi «responsabilités locales», l’Unccas multiplie les rencontres avec les politiques, comme celle prévue le 21 janvier avec Jean-Louis Debré, président de l’Assemblée.

L’argument pour cet amendement est de pointer que près de 32 000 communes rurales n’ont pas de CCAS. La loi ainsi ne ferait qu’entériner cette situation. Mais l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions.

Ce que pointe l’UNCCAS (Union nationales des Centres Communaux d’action sociale) c’est le risque de voir certains maires faire disparaitre leur CCAS, pour ne pas avoir à “subir” au local les discussions avec les associations forcément présentes dans les CCAS.

Plus d’informations : http://www.unccas.org/html_public/petition/frame_petition.htm

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