renouvellement urbain, logement social et politique de la ville.
Il se déroule en deux temps : échanges informatiques d’abord, puis
soirée de regroupement *le 26 mai, à 18h30 à l’Adels Paris* (108-110 rue
Saint-Maur 75011 Paris, métro Parmentier).
Sur ces deux modes d’expression nous vous invitons à participer au débat.
Plusieurs contributeurs ont été sollicités depuis un mois, certains
d’entre eux se sont déjà exprimé par e-mail, et nous vous invitons à
lire les 8 contributions disponibles sur le site de l’Adels :
http://www.adels.org/association/loi_borloo.htm
La réunion du 26 mai se structure, à ce jour, autour des trois
problématiques suivantes, que nous relevons des contributions reçues :
– Au coeur de la loi Borloo, où sont passés les habitants ?
Entre les opérations de démolition de bâtiments programmées et les
futures reconstructions, que deviennent les habitants ?
Les règles du marché immobilier ne risquent-elles pas de s’inviter dans
le programme, et de régler le sort de ceux qui souhaitaient être relogés
sur place ?
Comment expliquer l’absence quasi-totale de place faîte à la parole, à
l’avis, aux points de vue des principaux intéressés ?
Quand les questions économiques et politiques que posent les différents
aspects de la loi seront réglées, parlera-t-on de ce que deviennent les
habitants ?
– Cette loi porte-t-elle une vision franche du développement économique
dans les quartiers ?
Existe-t-il un bilan partagé des zones franches ?
Doit-on voir dans le doublement annoncé des ZFU un nouveau cadeau au
patronat, ou considérer que leur installation au pied des barres est un
levier pour l’emploi ?
Quelle est la vision du potentiel économique des quartiers, de
l’initiative économique propre aux quartiers aux modes d’intervention
des financeurs institutionnels ?
– La fin de la politique de la ville a-t-elle sonné ?
Comment la loi Borloo s’articule-t-elle avec la politique de la ville ?
Suite ou fin ?
Dans quelle perspective s’inscrit-elle ?
Est-ce qu’elle marque le retour des “quartiers” dans le droit commun du
développement urbain ou est-ce que la discrimination (ou politique
d’exception) continue, sous une autre forme ?
Comment les partenaires locaux de la politique de la ville envisagent
ils l’avenir, après 2006, fin des actuels contrats de plan ?
Si vous souhaitez participer au débat du 26 mai, inscrivez vous au plus vite par e-mail à : adels@adels.org
Dans l’attente de vous lire et de vous rencontrer le 26 mai,
L’équipe de l’Adels.